Un Californien avec le tatouage « 420 » sur la tête aurait décapité un parent et s'enfuirait avec la tête

La police californienne retrouve la tête d’une grand-mère décapitée qui aurait été tuée par son petit-fils avec le tatouage « 420 »

La victime d’une horrible décapitation à Santa Rosa, en Californie, a été identifiée comme étant une grand-mère de 64 ans dont la tête coupée a été retrouvée près d’un ruisseau deux jours après que son propre petit-fils l’aurait décapitée et aurait fui avec sa tête, ont annoncé lundi les autorités.

Elvia Lopez-Arroyo, une habitante de Santa Rosa, a été retrouvée morte à l’intérieur de sa maison située dans le pâté de maisons 500 de Pomo Trail la semaine dernière lorsque les policiers ont répondu à un rapport faisant état d’un possible homicide, a indiqué la police de Santa Rosa.

La tête de la victime décapitée n’a pas été retrouvée sur les lieux, mais la police a indiqué que plusieurs armes avaient été découvertes à l’intérieur de la maison. La police a déclaré que des tests supplémentaires sur les armes étaient nécessaires pour déterminer l’arme du crime et n’a pas précisé quels types d’armes ont été trouvés.

Les enquêteurs ont déterminé que Luis Gustavo Aroyo-Lopez, le petit-fils de la victime, âgé de 23 ans, l’a tuée jeudi lors d’une « attaque ciblée » avant de quitter les lieux avec la tête, selon la police.

Samedi soir, des détectives ont retrouvé la tête de l’homme de 64 ans sur la rive sud du ruisseau Santa Rosa, près du Prince Memorial Greenway à Santa Rosa.

L’homme de 23 ans a été arrêté plus tôt samedi à San Francisco après que la police locale a repéré l’homme recherché au Transbay Transit Center sur Mission Street.

Luis Gustavo Aroyo-López

Aroyo-Lopez, qui porte un grand tatouage « 420 » et une feuille de marijuana sur le côté gauche de sa tête, a été incarcéré dans une prison du comté de Sonoma pour meurtre et violation de la surveillance communautaire post-libération pour un crime antérieur.

Aroyo-Lopez n’a pas été libéré sous caution et reste en détention.

L’homme de 23 ans a des antécédents criminels violents, qui comprennent une peine de prison pour agression avec une arme mortelle et des accusations de possession d’armes. Les accusations n’avaient aucun lien avec la victime de l’homicide.

Il a récemment été libéré de prison d’État et placé sous surveillance communautaire après sa libération, a indiqué la police.

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